Novecento : Pianiste

du 10 au 12 juin 2022

d'Alessandro Baricco,

avec Stéphane Rentznik

Vendredi 10 juin 2022 : 19h30

Samedi 11 juin 2022 : 19h30

Dimanche 12 juin 2022 : 18h00

Et aussi à la Fondation Estrée du 20 au 22 mai 2022 : www.estree.ch

Entrée : 27.- CHF

Tarif réduit : 20.- CHF

Cie Théâtre du Projecteur

Mise en scène et scénographie : Jean-Gabriel Chobaz

Construction décor : Atelier Arrière scène

Création lumières : Gazus Gagnebin

Costume : Scilla Ilardo

« La dernière fois que j’ai vu Novecento, il était sur un bateau dont il n’est jamais descendu. » Année 1900, les marins découvrent un nourrisson dans une caisse en bois. Il est posé sur le piano de la salle de bal du paquebot. On appelle le garçon Novecento. Parce que c’est l’enfant du nouveau siècle. Il grandit dans la salle des machines, entre l’Europe et l’Amérique. Son pays, c’est l’océan. Son refuge, c’est le piano. Il joue comme personne, ragtime, blues, et devient le plus grand des pianistes. Sa réputation franchit les océans. Il aurait pu conquérir le monde… s’il était… descendu… « On jouait parce que l’Océan est grand, et qu’il fait peur, on jouait pour que les gens ne sentent pas le temps passer, et qu’ils oublient où ils étaient, qui ils étaient. On jouait pour les faire danser, parce que si tu danses tu ne meurs pas, et tu te sens Dieu. Et on jouait du ragtime, parce que c’est la musique sur laquelle Dieu danse quand personne ne le regarde. Sur laquelle Dieu danserait, s’il était nègre. »

© Jean-Gabriel Chobaz

Ils en parlent...

« A saluer avant tout la performance du comédien qui parvient  à habiter le  monologue de voix diverses allant du rire aux larmes; à noter que l'attention émue du spectateur va crescendo grâce à un jeu qui monte en puissance. » L. Parmigiani.

« Spectacle dont la mise en scène lumineuse et enveloppante nous emporte loin, très loin. » C.L. Gerber

«Stéphane Rentznik incarne avec élégance et justesse Tim Tooney, l’ami trompettiste de Novecento.» «Le comédien est totalement investi dans son rôle, les émotions sont au premier plan.» «Le texte d’Alessandro Baricco est un pur délice.» Géraldine Elbaz – toute laculture.com